jeudi 21 août 2008

"Le shopping c'est encore mieux que la psychothérapie" disait une certaine amie brunette.


Un stylo, des feuilles blanches puis des écritures quelques petits gribouillis oui mais que sympathique juste de simples taquineries, puis le début d'une écriture n'ont pas noire mais colorée : une histoire, un roman, notre romance. La découverte de nos secrets, un magnifique secret un mélange de toi et de moi, le secret de notre relation comblée, épanouïe mais surtout sans déformation, sans soucis ...

Puis je ne sais pas, je ne sais plus ce qui s'est passé d'un seul coup un chapitre entier de notre roman a été déchiré, "on ne peut tout contrôler à certains instants" dit-on souvent, on ne trouve plus les mots justes, les réconforts, toutes ses attentions apaisantes oui mais seulement elles ne sont plus automatiques, même manuellement on en veut plus. Jour après jour, nos coeurs brisés font ressentir des mots tremblant, des larmes soulignées, même les derniers recours ne suffisent plus et les joies désaharmonisées. Dire que j'en parlais très peu de ce train pouvant accompagner certaines romances à leur terminus, où est passé le temps au plus-que-parfait ? Pourquoi tout d'un coup tout se conjugue à l'imparfait ? Non je ne veux pas de ce passé, pas maintenant, pas tout de suite, un autre jour, s'il te plaît dis-moi que nous aussi nous pouvons avoir à notre disposition un effaceur de peine et que les premières pages avec les mots joies, rires, amour, bonheur soient soulignés à nouveau, je t'en prie ne nous quittons pas ...

dimanche 17 août 2008

Le temps est beaucoup trop court pour me cacher tes secrets, puis entre nous, notre secret à nous c'est notre histoire, souviens-toi.

Avec Mathieu, on parle souvent à deux voix sur le répondeur , chacun un mot ou une phrase, ou bien la même phrase en même temps tellement on est contents d'être ensemble, contents et fiers, deux imbéciles contents et fiers de leur bel amour, ah on va leur montrer, ah ils vont voir, ah on va leur balancer notre grand amour à la figure, notre amour insolent, cette âme à deux corps, ou bien, il me châtouille, il me fait rire, ou bien on dit des bêtises et que nos parents nous grondent. Qu'est ce que c'est que ce message, vous n'êtes plus des enfants tout de même, ce n'est pas sérieux ! Si c'est sérieux, on s'aime ultrasérieusement et ça fait bien longtemps qu'on est plus des enfants.

C'est un moi au masculin, enfin ... presque, oui parce que je suis beaucoup plus dépensière et moins bosseuse. Il y a des histoires qui ne ressemble qu'à un simple "salut" entre le soleil et les nuages, la nôtre c'est bien plus que ça ! La rencontre d'un écrivain et de son inspiration, un amour ne pouvant s'envoler, le mot qu'il faut est toujours au rendez-vous. Il est la suite de mon histoire chapitre "inspiration trouvée ne risquant point de s'estomper".

Je veux vieillir dans tes regards et habiller tes nuits jusqu'à la fin de mes jours.